Entretien plus léger et moins couteux qu’un jardin classique
Attire énormément de pollinisateurs
Accueillant pour la petite faune (oiseaux, hérisson, …)
La propagation des maladies et des ravageurs est limitée grâce à l’équilibre naturel
Impact positif sur la santé dû à l’abandon de produits chimiques d’entretien
Mise en oeuvre
Favoriser l’emploi de plantes indigènes (marguerites, fabacées, plantes rampantes, …) NB : L’obtention de plants d’arbres et arbustes indigènes peut se faire auprès de votre commune dans le cadre de la semaine de l’arbre, ou auprès de la province ou de la région Wallonne (voir bonne pratique 5.1. « Haies »)[1]
Tailler en dehors des périodes de nidification (1er août au 31 mars)
Créer des zones refuges pour animaux sauvage (hérissons, amphibiens, coccinelles, musaraignes, oiseaux), notamment pour lutter contre les indésirables
Privilégier une fertilisation naturelle (ex : compost, tas de feuilles mortes, …)
Accepter les « mauvaises herbes » dans le jardin pour laisser des zones sauvages