Il est important de favoriser un boisement indigène, c’est-à-dire un boisement composé d’essences ligneuses qui poussent naturellement dans la région, par exemple, le bouleau verruqueux, les chênes sessiles ou pédonculées, le charme ou encore le hêtre[1]. De nombreux arbustes sont également indigènes : le noisetier, le houx, etc.
- Éligible à la MAEC MB1.a « haies et alignement d’arbres » : paiement annuel de 25€/200m de haies[1]
- Subside à la plantation auprès du SPW[2]
- Meilleure résistance aux maladies et aux aléas météorologiques
- Favorise une faune riche et dans leur environnement naturel (écureuil, chauve-souris, oiseaux forestiers, rapaces, invertébrés forestiers)
- Maintien du patrimoine forestier
- Choisir des essences indigènes pour le reboisement
- Lutter contre les espèces invasives
- Limiter au maximum les activités humaines sur le site
- Ne pas utiliser de produits chimiques
[1] Pour plus d’informations sur les espèces indigènes, voir : https://reseaunature.natagora.be/fileadmin/Projet_Reseau_Nature/Fiches_conseils/Fiches_Gestion_Pascal/Bois_de_feuillus_indigenes.pdf
[2] https://www.natagriwal.be/fr/mesures-agro-environnementales/liste-des-mae/fiches/details/333
[3] Plus d’informations sur les subsides à la plantation en RW : http://biodiversite.wallonie.be/fr/subventions-a-la-plantation.html?IDC=6057
