En adaptant ses pratiques culturales, il est possible d'éviter des dégâts sur la faune. En effet, le machinisme peut être dangereux pour les animaux sauvages. Certaines pratiques réalisées au printemps (semis de céréales de printemps par exemple) peuvent coïncider avec la nidification ou la mise bas de la petite faune présente dans le champ. En hiver, la destruction des couverts est également dangereuse pour cette faune.